On lui sommait de s'adapter aux mondes des humains, on lui disait que sans ça, elle courrait à sa perte. Nymphea se pliait aux règles, elle donnait le change au quotidien, se persuadant que c'était la meilleure chose à faire, que si elle ne s'adaptait pas, elle ne survivrait pas. C'est ce qui était arrivé à l'entièreté des siennes, ne réussissant pas à s'adapter, elles avaient fini par disparaitre petit à petit, les seules survivantes jouant le jeu d'une société trop grande, trop rapide, trop superficielles pour elles.
Mais Nymphea, malgré ce masque convaincant, réussissait à s'échapper du tumultes des injonctions et de cette vie effrénée. Chaque fin de journée, à l'abri de tout les regards, Nymphea se parait de la tenue légère qui l'avait accompagnée durant des millénaires. Sur la pointe des pieds, afin de ne pas perturber les champitrolls, les fées cachées et l'ensemble des vivants qui peuplés la forêt, elle s'aventurer en son sein. Et dans cet écrin de nature, sa vitalité revenait, elle pouvait être elle, mutine et libre. Elle pouvait s'adonnait à tous les rêves qui habitaient son esprit et ainsi redevenir enfant de la nature.
Mais Nymphea, malgré ce masque convaincant, réussissait à s'échapper du tumultes des injonctions et de cette vie effrénée. Chaque fin de journée, à l'abri de tout les regards, Nymphea se parait de la tenue légère qui l'avait accompagnée durant des millénaires. Sur la pointe des pieds, afin de ne pas perturber les champitrolls, les fées cachées et l'ensemble des vivants qui peuplés la forêt, elle s'aventurer en son sein. Et dans cet écrin de nature, sa vitalité revenait, elle pouvait être elle, mutine et libre. Elle pouvait s'adonnait à tous les rêves qui habitaient son esprit et ainsi redevenir enfant de la nature.